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  • Le Visage Vert - bis

    Je parlais récemment de la revue de littérature Le Visage Vert et de son numéro 15.

    Romain Verger, que l'on retrouve aussi ici, lui consacre un bel article dans Sitartmag.

     

    Le Visage vert , revue de littérature, n° 15 (éditions Zulma, responsable de la rédaction : Xavier Legrand-Ferronnière)

     

    Pour information : Le Visage Vert est édité par l'association Le Visage Vert depuis 1995. Le n° 1, auto-édité, est épuisé, mais un retirage est envisagé. Les numéros 2 à 13 — coédités avec les Éditions Joëlle Losfeld — ne sont plus disponibles en librairie, mais on peut les commander directement auprès du Visage Vert, au numéro, ou sous forme de collection « complète ». Enfin les numéros les plus récents (14 et 15) sont coédités avec les Éditions Zulma et donc disponibles en librairie. A partir de cette année (2008) le Visage Vert propose une collection d'ouvrages.

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  • Archivages... again.

    De "nouveaux" articles désormais en ligne sur la nouvelle version de sitartmag.

    colapinto3.jpgAbout the author, de John Colapinto - Fourth Estate, 2002

    Auteur en sursis - traduit de l’anglais par Cécile Arnaud - Belfond, 2003

     

    La poursuite de la célébrité peut se décliner de multiples façons, souvent sur le mode satirique. Avec About the author, les amateurs de suspense et d'humour trouveront leur compte, car ce premier roman (palpitant, admettons-le) ne manque pas d'efficacité (on serait tenté de dire "à l'américaine"). Mais sous des dehors de thriller littéraire un peu facile, le récit est avant tout une confession angoissée, écrite dans l'urgence par un homme qui a longtemps caché son jeu, et qui a donc beaucoup à nous apprendre : Cal Cunningham revient ainsi sur ses pas et raconte comment, fraîchement sorti de l'université, il s'installe à Manhattan dans l'espoir de devenir écrivain, mais surtout, "célèbre". LIRE LA SUITE

     

    kaikisen3.jpgKaikisen, retour vers la mer
    Satoshi KON
    - Casterman, collection Sakka, 2004

     

    S'inspirant d'une mythologie poétique qui prête à l'ondine (représentée ici sous les traits de la femme-poisson, telle que nous la connaissons) des pouvoirs sur la mer et ses créatures, Kaikisen se présente comme un manga émouvant, palpitant et engagé, dont l'action se déroule à Amidé, une petite ville côtière imaginée par l'auteur, et qui s'accroche à son passé tout en essayant de s'adapter à une modernité galopante, avec la promesse d'un essor économique sans précédent. L'histoire débute sur un œuf mystérieux dont Yôsuké, un jeune homme rêveur et respectueux des traditions, sera bientôt l'unique gardien, comme l'est encore son grand-père, prêtre Shintô. LIRE L'ARTICLE

    choe1.gifPoétique de la soif de Ch’oe Yun
    récits traduits du Coréen par l'auteure et Patrick Maurus - Actes Sud, 1999

    Dans cet ouvrage sont regroupés quatre récits écrits à différentes périodes, mais ayant pour dénominateur commun la Corée du "miracle économique" et les répercussions dévastatrices de ces changements sur l'individu et la société entière. Une tristesse ineffable semble adhérer aux êtres qui ont un profond sentiment de solitude dans des foules anonymes : ils intériorisent leurs émotions, ne parvenant pas à communiquer dans un monde clos et oppressant. Par bonheur, l'écriture ouvragée de Ch'oe Yun leur permet d'exister et de révéler leurs peurs et leurs rêves, leurs lâchetés et leurs courts bonheurs : une écriture alambiquée, une prose empreinte d'une poésie mouvementée qui illumine les récits. LIRE LA SUITE

    christophedufosse1.gifL'heure de la sortie de Christophe Dufossé
    Denoël, 2002 - Folio Gallimard, 2004

    Les enseignants seraient-ils des créatures à part ? A en croire Christophe Dufossé, ils formeraient une catégorie atypique, une espèce sclérosée et obnubilée par des relents d'enfance, et pourtant en tous points génétiquement semblables aux autres humains... C'est du moins le point de vue, non pas tant énoncé qu'esquissé, qui domine ce sombre roman. L'histoire est racontée par l'esprit en perdition d'un jeune professeur de français, Pierre Hoffman, qui porte un regard désabusé, cynique mais aussi très amusant sur la profession, une vision amère mais teintée de drôlerie du microcosme de la salle des profs de son collège : des descriptions et des remarques peu flatteuses qui sonnent juste de bout en bout, en dépit d'un penchant à noircir allègrement le tableau. LIRE LA SUITE

    charlesmasson3.jpgSoupe froide de Charles Masson
    Casterman, Écritures, 2003

    Quand frappe l'hiver, on a tous quelques pensées fugaces pour les plus démunis ; les journaux et les radios se chargent de nous le rappeler et entonnent une litanie (c'est la faute à la froidure...) qui, à force d'être répétée, perd de son sens et devient, comme beaucoup d'autres sujets, une façon de combler le vide. La mauvaise conscience refait surface, mais tout s'efface très vite des esprits qui habitent des corps à l'abri du froid, de la faim et de la déchéance. L'ouvrage de Charles Masson est exemplaire, car il force le lecteur à l'intimité d'un rude face à face... LIRE LA SUITE

     

    genevievebrisac6.jpgAngleterre, de Geneviève Brisac
    Médium de L’Ecole des Loisirs, 2005

     

    Les parents d’Adélaïde décident de l’envoyer en séjour linguistique sans l’avoir consultée au préalable (pour des raisons d'abord obscures), la toute jeune fille est révoltée – et se plie malgré tout à l’autorité parentale… Quand elle arrive en Angleterre, elle va de surprises en déconvenues, portant un regard critique sur tout et sur tous – transformant ainsi certaines scènes au demeurant banales en une comédie très acide : la famille d’accueil en prend pour son grade, mais les Français qui l’accompagnent aussi. LIRE LA SUITE

     

    deltenre1.jpgLa cérémonie des poupées de Chantal Deltenre - Maelström, 2005

    Tout fait sens dans ce palpitant roman, d’un bout à l’autre du récit de Keiko qui relate son séjour au Japon – un pays qu’elle ne connaissait pas en dépit de ses origines. Elle le découvre aux côtés de Pierre, son ami français que la langue et la culture japonaises fascinent. Cela fait maintenant un an qu’ils se sont installés dans un petit appartement, à Tokyo, un lieu que Keiko s’est approprié avec une férocité dont elle seule a conscience (« m’arracher à l’appartement m’est devenu aussi douloureux qu’une amputation »), sacralisant secrètement l’endroit et engageant, au quotidien, un dialogue muet avec les objets et les meubles qui étaient déjà là lors de leur emménagement... LIRE LA SUITE

    loupsarbacane3.jpgUn LOUP peut en cacher un autre
    collectif d'illustrateurs - textes de François David - Sarbacane, 2006

    Après l’éléphant, un animal autrement plus ambivalent a été retenu par les éditions Sarbacane pour ce deuxième album grand format, qui réunit une trentaine d’illustrateurs, et dont le fil conducteur est une nouvelle fois offert par François David et ses poèmes – en regard de chacune des créations graphiques. Un bel éventail, donc, qui permet à la fois de (re)découvrir des artistes et d’observer le loup à travers le prisme d’univers imaginaires forcément très hétérogènes. LIRE L'ARTICLE

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  • Archives, toujours.

    De "nouveaux" textes en ligne.

    chung1.gifKimchi
    Ook Chung
    Le serpent à plumes, 2001

    On sait comment, à travers leurs écrits, de nombreux écrivains de l'entre-deux (entre deux civilisations, pays, langages...) exorcisent l'apparent fardeau de la double-identité, l'idée d'appartenir à deux cultures sans jamais pouvoir véritablement s'approprier pleinement l'une ou l'autre : Hanif Kureishi ou Kazuo Ishiguro en sont de parfaits exemples en littérature anglophone. Ook Chung est néanmoins un auteur encore différent, pur produit du déracinement multiple, généré par une situation originelle plus complexe : né au Japon de parents coréens qui s'exilent ensuite à Montréal, cet écrivain francophone mais polyglotte vit aujourd'hui au Japon, un pays (re)découvert sur le tard. Ses Nouvelles orientales et désorientées attestaient, ne serait-ce que par le titre même de l'ouvrage, de son désir d'être reconnu comme une anomalie littéraire, un déraciné notoire et dysfonctionnel. Lire la suite

    fdavidalibeu.jpgOn n’aime pas les chats
    François David et Géraldine Alibeu

    Sarbacane, 2006

    En des temps bien mouvementés pour les différences et la pluralité (des origines, des couleurs, des opinions…) cet album tombe à point nommé : On n’aime pas les chats se présente comme une fable universelle qui transcende les époques et les lieux, à la fois grave et éminemment ironique, et le texte de François David, illuminé par les étonnantes illustrations pleine page de Géraldine Alibeu, se lit et se relit avec un bonheur toujours renouvelé, chaque lecture apportant des éléments nouveaux et engendrant de multiples échos avec ce que l’on peut lire ou entendre quotidiennement, dans la presse ou autour de soi. Lire la suite

    changraelee1.gifLes sombres feux du passé
    Chang-Rae Lee

    Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Jean Pavans
    Editions de l'Olivier, 2001 /
    Seuil, Points, 2002

     

    Le docteur Hata vit une retraite paisible et ordonnée dans la petite ville de Bedley Run, dans l'état de New-York. Rien dans son existence routinière ou dans son allure de citoyen respectable ne semble trahir "les sombres feux" d'un passé tragique. Et pourtant, tandis qu'il se remémore comment il a perdu de vue sa fille unique Sunny, une jeune coréenne adoptée à l'âge de six ans, une adolescente difficile et distante, d'autres souvenirs font surface, nourris par la vision d'un visage apeuré : celui d'une autre jeune coréenne rencontrée des années auparavant, alors qu'en tant qu'officier médical dans l'armée japonaise durant la deuxième guerre mondiale, il était cantonné dans un sinistre campement en Birmanie. Lire la suite

     

    aliettearmel3.jpgLe voyage de Bilqîs

    Aliette Armel
    Autrement, collection Littératures, 2002

     

    La reine de Saba et sa rencontre avec le roi Salomon n'ont eu de cesse, au fil des âges, que d'inspirer nombre d'écrivains et poètes (Nerval, Flaubert...) et, dans le même temps, cette histoire mythique (dont les sources historiques demeurent plutôt vagues), n'a cessé d'être récupérée et remaniée par les juifs, les chrétiens, les musulmans, ou encore les Ethiopiens, quand elle servait leurs intérêts spirituels ou politiques... Dès lors, quoi d'étonnant qu'une auteure française se l'approprie et la réinvente, tout en l'incrustant délicatement dans un autre récit, celui d'une lutte entre le peintre de la Renaissance italienne Piero Della Francesca (1415?-1478) et sa passion dévorante pour son art ? Lire la suite

     

     

    alkennedy3.jpgIndelible Acts

    A.L. Kennedy
    Jonathan Cape, 2002

     

    En quelques lignes, A.L. Kennedy pose chacun de ses personnages avec une minutie qui sied parfaitement au genre nouvellistique : êtres égarés, repliés sur eux-mêmes, qui se racontent (ou se laissent raconter) en amplifiant chaque geste anodin, en analysant la moindre pensée ; c’est ainsi que se dessine une succession de révélations intimes (la désormais très classique "épiphanie" joycienne, chère à Raymond Carver, autre nouvelliste de talent), ici microscopiques, par le biais d’une exploration solitaire et toujours imprégnée de doute... Lire la suite

     

    chenez3.jpgLe Resquilleur du Louvre
    Bernard Chenez

    Editions Héloïse d’Ormesson, 2005

    Pensant pénétrer dans l'univers d'une humanité aux abois, celle des abandonnés rencontrés par hasard au coin d’une rue (et dont on évite soigneusement de croiser le regard, par crainte d'y lire, justement, trop d'humanité) le lecteur entre sans grande méfiance dans le récit d'un "sans domicile fixe" ; de magouilles en combines, entre débrouillardise et roublardise, entre désespérance lucide, nostalgie et illusion comique, le narrateur anonyme se métamorphose pourtant en sage éclaireur, philosophe dépenaillé mais détenteur d'une vérité unique. Lire la suite

    chomeurs3.jpgChômeurs, qu'attendez-vous pour disparaître ?
    Collectif - textes réunis par Jean-Jacques Reboux
    Collection Tous les possibles
    Editions Après la lune, 2007

    Ce n’est pas un scoop : les chiffres et autres statistiques du chômage sont « grossièrement truqués ». Dans le Canard Enchaîné du 4 avril, on apprend même que la soixantaine d’experts de la Dares (Ministère du travail) protestent contre la très optimiste baisse récemment annoncée par le gouvernement (et que de nombreux médias ont allègrement relayée sans la commenter), une baisse « concomitante avec une série de changements dans les règles administratives de gestion des listes et dans les modalités du suivi des demandeurs d’emploi», et le Canard d’ajouter, « en bon français », que c’est « le résultat d’une tricherie qui a consisté à radier massivement les chômeurs ». Lire la suite

    etc.

     

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  • Mai 68, creuset pour les sciences de l’homme ?

    Du 10 au 12 septembre, se tiendra à Paris un colloque d’histoire des sciences - organisé par Olivier Orain (Chargé de recherches au CNRS, UMR Géographie-cités), Bertrand Müller (Chargé de cours, université de Genève) et la Société française pour l’histoire des sciences de l’homme (SFHSH).

     

    "au-delà des dithyrambes et des procès, il est temps désormais d'examiner plus froidement, avec le recul de 40 années, la place de Mai-1968 par rapport aux transformations des sciences de l'homme dans les années 1960-1970."

     

    Programme détaillé (entrée gratuite, dans la limite des places disponibles)

     

     

    Mai 68 : quelques ouvrages chroniqués dans Sitartmag.

    Mon Mai 68 d'Alain Geismar (Perrin)

    Mai 68, photos de Göksin Sipahioglu (Scali)

    Et un entretien avec Antoinette Fouque, par Jocelyne Sauvard : "de Mai 68 à Octobre 2008 et prolongations"

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  • salutaire

    211671876.jpgQuelques mots sur l'article d'Anne-Marie Mercier portant sur un ouvrage fortement recommandé : Lire, interpréter, actualiser. Pourquoi les études littéraires ? signé Yves Citton (Editions Amsterdam, 2008). J'ai relevé entre autres ce paragraphe, essentiel pour qui voudrait comprendre ce qu'est la littérature et quelle mission elle remplit (au-delà du plaisir de la lecture) - un passage qui répond intelligemment à ses détracteurs (ceux qui ne voient dans les études littéraires - qu'on appelait pourtant les "humanités" - qu'un passe-temps superflu, inutile à la société d'aujourd'hui, car sans intérêt économique sur le court ou le long terme...)

    "C’est à travers la littérature qu’une société s’invente de nouvelles formes de sensations, de réflexions, de vies, de hiérarchies, de valeurs. La littérature travaille la société, ses fonctionnements et ses représentations.(...) Pour former des individus capables de recul critique, d’échange, d’adaptation, de reconfiguration de leurs modèles, la littérature vécue comme expérience de lecture et de dialogues d’interprétations est la meilleure machine jamais inventée. Ainsi, les propos du candidat à la présidentielle, élu depuis, sur l’intérêt qu’il y a à former une caissière à travers l’analyse de la Princesse de Clèves, ou plus généralement à financer les études portant sur les «littératures anciennes» sont elles prises au pied de la lettre et reçoivent elles une réponse directe et radicale : une société qui se priverait de cette ressource, ou déciderait d’en priver certains de ses membres, court à sa perte, ou pire encore." (AM. Mercier, Sitartmag)

    Lire l'article

    Les éditions Amsterdam

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  • Quelques titres pour 2008 & sorties poches

    f1de6369937d8b99068d9c96af0edbbf.jpgEn ligne sur Sitartmag, quelques articles portant sur des romans à paraître début 2008.

    Les sept jours de Peter Crumb de Jonny Glynn (Panama)
    dont je parle déjà sur ce blog, plongée dans un univers mental déroutant.

    Du sang dans la sciure de Joe R. Lansdale (éditions du Rocher)
    Un roman lu il y a quelques années, en dont j'attendais la parution en français.

    Quant aux poches, plusieurs ouvrages dont nous avions déjà parlés : Fils unique de Stéphane Audéguy (Folio), Train 8017 d’Alessandro Perissinotto (Folio Policier), La neuvième vie de Louis Drax de Liz Jensen (J'ai Lu, février 2008), La vie aux aguets de William Boyd (Points Seuil, février 2008), Cahiers de la guerre et autres textes de Marguerite Duras (Folio, mars 2008), La joueuse d'échecs de Bertina Henrichs (Livre de poche, février 2008), Fenêtres sur rue de Jon McGregor (Rivages 2008), Samedi de Ian McEwan (Folio).

    Tous les articles sont ici  www.sitartmag.com/xbooknouveaux.htm

     

    c9f2e5f59520b641dd30e5f7f3a7e26d.jpgJe recommande aussi la lecture de La Langue du mensonge de Andrew Wilson (traduit de l'anglais par Françoise du Sorbier), aux éditions Albin Michel, que j'avais lu en anglais.

    présentation de l'éditeur
    Adam Woods est un jeune diplômé en histoire de l’art. Gordon Crace, un vieillard excentrique, collectionneur d’art, qui vit reclus depuis vingt dans un somptueux palais vénitien en ruines. Entré au service de Crace en tant que secrétaire, Adam est fasciné par cet érudit capricieux et secret. Commence alors entre ces deux personnages un étrange jeu de confessions intimes d’où surgit le spectre de l’ancien amant de Crace, mort à vingt ans en 1967. Meurtre ? Suicide ? Adam, qui nourrit le rêve secret d’écrire la biographie de Crace, décide de connaître coûte que coûte la vérité sur cette disparition, enfreignant dangereusement les règles du jeu... un thriller vénéneux et subtil dans la lignée de Patricia Highsmith où Andrew Wilson excelle à faire vaciller toutes nos certitudes.
    http://www.albin-michel.fr

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