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yves citton

  • Revue internationale des livres et des idées

    666200305.jpgLe n°5 (mai-juin 2008) de La Revue internationale des livres et des idées est en kiosque. Pour découvrir le numéro précédent, on pourra lire cet article en ligne et pour tout savoir de ce dernier numéro, on peut se rendre sur le site ou le blog de la revue, une initiative des Editions Amsterdam (directeurs de publication : Jérôme Vidal et Yann Laporte).
    Un aperçu du sommaire :
    Yves Citton : Il faut défendre la société littéraire
    Marc Escola :Voir de loin. Extension du domaine de l'histoire littéraire
    Christophe Fiat : La jeune fille à la bombe 
    Xavier Vigna : Clio contre Carvalho. L'historiographie de 68
    Thierry Labica : La culture n'est pas une marchandise : c'est un gouvernement
    François Cusset : Le champ postcolonial et l'épouvantail postmoderne...

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  • salutaire

    211671876.jpgQuelques mots sur l'article d'Anne-Marie Mercier portant sur un ouvrage fortement recommandé : Lire, interpréter, actualiser. Pourquoi les études littéraires ? signé Yves Citton (Editions Amsterdam, 2008). J'ai relevé entre autres ce paragraphe, essentiel pour qui voudrait comprendre ce qu'est la littérature et quelle mission elle remplit (au-delà du plaisir de la lecture) - un passage qui répond intelligemment à ses détracteurs (ceux qui ne voient dans les études littéraires - qu'on appelait pourtant les "humanités" - qu'un passe-temps superflu, inutile à la société d'aujourd'hui, car sans intérêt économique sur le court ou le long terme...)

    "C’est à travers la littérature qu’une société s’invente de nouvelles formes de sensations, de réflexions, de vies, de hiérarchies, de valeurs. La littérature travaille la société, ses fonctionnements et ses représentations.(...) Pour former des individus capables de recul critique, d’échange, d’adaptation, de reconfiguration de leurs modèles, la littérature vécue comme expérience de lecture et de dialogues d’interprétations est la meilleure machine jamais inventée. Ainsi, les propos du candidat à la présidentielle, élu depuis, sur l’intérêt qu’il y a à former une caissière à travers l’analyse de la Princesse de Clèves, ou plus généralement à financer les études portant sur les «littératures anciennes» sont elles prises au pied de la lettre et reçoivent elles une réponse directe et radicale : une société qui se priverait de cette ressource, ou déciderait d’en priver certains de ses membres, court à sa perte, ou pire encore." (AM. Mercier, Sitartmag)

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    Les éditions Amsterdam

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