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gregory corso

  • Le Joyeux Anniversaire de la mort / The Happy Birthday of Death - Gregory Corso

    Vient de paraître 

    LE JOYEUX ANNIVERSAIRE DE LA MORT
    GREGORY CORSO

    Poèmes choisis – recueil bilingue
    Traduit de l’anglais par Blandine Longre
    Introduction de Paul Stubbs / Postface de Kirby Olson

    The Happy Birthday of Death
    Selected poems – bilingual book

    Black Herald Press, novembre 2014
    100 pages – 14 € / ISBN  978-2-919582-09-9

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    « Magnifique et stupéfiant Gregory Corso, le seul & unique Gregory le Héraut. »
    Jack Kerouac.

    « Sans doute le plus grand poète américain. »
    Allen Ginsberg à propos de Gregory Corso.

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    Plus d'informations: http://blackheraldpress.wordpress.com/books/gregorycorso/ 

    Pour se procurer l'ouvrage : http://blackheraldpress.wordpress.com/buy-our-titles/

     

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    Gregory Corso (1930-2001), l’un des poètes majeurs de la Beat Generation aux côtés de Jack Kerouac, d’Allen Ginsberg et de William S. Burroughs, a voué son existence à la poésie. Bien qu’ancrée dans la modernité, l’écriture de Corso puise également dans des traditions plus anciennes (celles, entre autres, du poète Percy Bysshe Shelley, figure tutélaire, et de l’héritage antique), révélant une poésie de nature composite, erratique et visionnaire, entre élégance lyrique et audace syntaxique, archaïsme revendiqué et facétieuse vitalité. Cet ouvrage rassemble un choix de poèmes extraits d’un recueil d’une incontestable originalité, Le Joyeux Anniversaire de la mort (publié en 1960 par New Directions), recueil qui concourut à consolider la réputation du poète, « un alchimiste des plus insolites, un belliciste des mots opérant à l’usure, bataillant aveuglément, immensément, avec le langage », ainsi que le décrit Paul Stubbs dans l’introduction au présent ouvrage.

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  • Gregory Corso en traduction

    A découvrir dans le dernier numéro du Black Herald, plusieurs poèmes de Gregory Corso accompagnés de leur traduction en français et d'une présentation (en VO et en VF) de Kirby Olson, auteur de Gregory Corso: Doubting Thomist (Southern Illinois University Press, 2002). Gregory Corso (1930-2001), poète américain, fut le plus jeune membre du noyau dur de la Beat Generation, proche de Jack Kerouac, d’Allen Ginsberg et de William S. Burroughs. Ses deux recueils les plus célèbres demeurent Gasoline (City Lights, 1958) et The Happy Birthday of Death (New Directions, 1960).

     

    “I leave paradise behind me

    My paradise squandered fully

    What dies dies in beauty

    What dies in beauty dies in me—”

     

    (On Pont Neuf, Gregory Corso - from The Happy Birthday of Death, 1960)


    ***


    “Je laisse le paradis derrière moi

    Mon paradis pleinement gaspillé

    Ce qui meurt meurt dans la beauté

    Ce qui meurt dans la beauté meurt en moi –”


    (Sur le Pont-Neuf, trad. B. Longre, The Black Herald, n°3, septembre 2012)


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    "Selon moi, la poésie de Corso associe le meilleur de la tradition imagiste américaine et le meilleur du surréalisme français. Aussi l’œuvre de Corso est-elle très proche de celle de son ami Frank O’Hara. En effet, ce dernier avait apparemment appris à associer le surréalisme français à la métrique variable et idiomatique de William Carlos William, le tout rédigé sur le ton de la conversation. Marjorie Perloff dit de Frank O’Hara : « ...O’Hara ne fut à même d’écrire les poèmes que nous considérons comme ses plus accomplis que lorsqu’il apprit à fusionner ces deux modes – adapter des images et des formes surréalistes à un idiome américain. » Une définition qui peut tout autant s’appliquer à Corso, lequel demeure l’un des grands secrets de la poésie américaine des années 1950 et au-delà, et presque certainement l’un des poètes américains les plus sous-estimés." Kirby Olson.



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  • The Black Herald 3 - revue de littérature, vient de paraître

    Le troisième numéro de la revue de littérature en partie bilingue que je coédite avec le poète Paul Stubbs vient de paraître. On peut désormais le commander en ligne (ou par email, par bon de commande), en attendant de le trouver dans quelques librairies signalées sur le site (dont L’Écume des Pages, Paris).

    http://blackheraldpress.wordpress.com/buy-our-titles/

    Issue #3 – September 2012 - Septembre 2012
    190 pages – 15€ / £13 / $19 – ISBN 978-2-919582-04-4


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    On y trouvera plusieurs textes de fiction et de poésie (en version originale et certains traduits en anglais) d’écrivains français : Louis Calaferte (traduction inédite de John Taylor), Tristan Corbière, Nicolas Cavaillès, Romain Verger, Michel Gerbal, Dominique Quélen, Pierre Trouiller, Nathalie Riera (également fondatrice des Carnets d’Eucharis), Mylène Catel et Jos Roy.

    Les poètes de langue anglaise (pour la plupart traduits en français), originaires de Grande-Bretagne, de la Nouvelle-Zélande ou encore des États-Unis sont eux aussi bien représentés : W.S. Graham (dont nous avions déjà publié des poèmes dans le numéro 2 du Black Herald), Clayton EshlemanAndrew FenthamPaul B. Roth (également fondateur de la maison The Bitter Oleander Press) Alexandra Sashe, Andrew O’Donnell, Anthony Seidman, Gerburg Garmann, Mark Wilson, Paul Stubbs, Iain Britton, James Joyce (traduction de Pierre Troullier), Gary J. Shipley et Michael Lee Rattigan (dont le recueil Liminal paraîtra d’ici quelques semaines chez Rufus Books). Par ailleurs, on découvrira des poèmes de l’expressioniste allemand August Stramm (traduit en français par Elisabeth Willenz et en anglais par Antony Vivis et Will Stone), ainsi que plusieurs poèmes traduits en français de Gregory Corso, auteur de la Beat Generation injustement méconnu en France et pourtant tout aussi important que Kerouac ou Ginsberg, traductions accompagnées d’une présentation signée Kirby Olson.

    On pourra de même lire un essai de Sébastien Doubinsky sur Baudelaire (version anglaise en regard), un second signé Bernard Bourrit (« C’est un héritage en moi qui me dévore », portant à la fois sur Julio Cortázar, les axolotls, et Fritz Horn) et un troisième sur Francis Bacon et le retable d’Issenheim de Matthis Grünewald (par la britannique Ingrid Soren, traduit en français), ainsi qu’un extrait des souvenirs d’Ernest Delahaye sur Rimbaud (traduction inédite en anglais). De même, Michael Lee Rattigan nous offre un nouveau texte en prose du péruvien César Vallejo (« Estado de la literatura española »), tandis que Rosemary Lloyd traduit du français des extraits de l’œuvre de Denis Buican, écrivain et biologiste. Nous sommes également heureux d’accueillir des auteurs de divers horizons, dont Devin Horan (cinéaste, qui prépare un troisième film sur Georg Trakl), le dramaturge new-yorkais Allan Graubard (traduit par Anne-Sylvie Homassel), l’Angolais João Melo (traduit par Cécile Lombard) et Sadie Hoagland (un texte étonnant traduit par Anne-Sylvie Homassel).

    Enfin, nous remercions pour leurs photographies Olivier Longre, Will Stone, Ágnes Cserháti et Devin Horan, et Sandrine Duvillier pour sa mise en page (couverture et intérieur).

    Le sommaire complet :

    http://blackheraldpress.wordpress.com/magazine/the-black-herald-3/contents-sommaire-3/

    Pour toute information complémentaire sur les contributeurs de ce numéro.

    Contact : blackheraldpress(at)gmail(point)com

     

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