Ou, plus précisément, sous son titre français L'Affabulateur de Jakob Wassermann, un roman traduit de l'allemand par Dina Regnier Sikiric et Nathalie Eberhardt et publié par La dernière goutte en octobre dernier.
« Les mots se jetaient sur lui à tel point qu’il avait l’impression d’être sous une cascade l’empêchant de respirer. Toutes les choses entre ciel et terre étaient capturées en eux ; on pouvait les jeter dans le désordre comme les pions d’un jeu : chacun signifiait quelque chose, derrière chacun s’érigeait un événement. »
Pour le découvrir, lire l'article d'Anne-Françoise Kavauvea et celui d'Eric Bonnargent.