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  • Paysages d’été - Nathalie Riera

    152743703.jpgPaysages d’été
    Nathalie Riera
    Lanskine, 2013

    « mon enjouement dans le retrait j’écris la certitude de la soie à être douceur la certitude du fruit à mûrir j’écris sans m’éloigner ni du demi-jour ni du midi sans fuir les limites de l’enclos du jardin

    mon enjouement dans l’attente du souffle qui reprend du rêve qui est vie l’ardeur contre le désarroi qui ne peut prendre place nulle part et de l’insouciance parmi les soucis

    dans la pénombre du roman que reste-t-il ? deux voix qui se sont tues un vent sans fougue et ce qui se répète mais ne se renouvelle pas »


    Nathalie Riera est l’auteur d’un essai, La parole derrière les verrous (Éditions de l'amandier, 2007) et de recueils de poésie : ClairVision (Publie.net, 2009), Puisque Beauté il y a (Lanskine, 2010), Variations d’herbes (Éditions du Petit Pois, 2012) et Paysages d’été . Elle a également créé la revue Les Carnets d’eucharis qu’elle anime depuis mars 2008.


    Présentation et critique de l’ouvrage

    http://lescarnetsdeucharis.hautetfort.com/archive/2013/06/01/nathalie-riera-paysages-d-ete-ed-lanskine-2013.html

    sur Terres de femmes

    http://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2013/06/nathalie-riera-elle-a-pleur%C3%A9-implor%C3%A9-la-main-absente.html

    sur le site de l’éditeur

    http://www.editions-lanskine.fr/livre/paysages-dete

     

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  • Enfer ! s'écria la duchesse - Michael Arlen

    roman, littérature anglaise, La dernière goutte, anne-sylvie homassel, Michael Arlen, Enfer! s’écria la duchesse
    Michael Arlen
    (titre original : Hell! Said the Duchess – A Bed-Time Story, 1934)
    Traduit de l'anglais par Anne-Sylvie Homassel
    La dernière goutte, 2013

    « Nous voici confrontés maintenant à la révoltante nécessité de paraître remettre en cause la bonne réputation et la personne de la duchesse de Dove et Oldham, telles que nous venons de les décrire. Qu’il existe sur terre des individus assez vils pour faire insulte à la pureté de cette dame est tout bonnement impensable. Et pourtant, ils furent un certain nombre. Voire un nombre certain.

    Il faut, à haute et intelligible voix, reconnaître ceci de ses amis et de ses connaissances : parmi eux, un sur dix refusa de croire les rumeurs qui circulaient ; les neuf autres en furent pétrifiés. Que la femme qu’ils avaient toujours tenue pour la plus réservée de son sexe, la plus vertueuse de sa génération, puisse être impliquée dans des histoires si sordides avait de quoi stupéfier. À notre grand désarroi, quelques individus de l’espèce perfide déclarèrent quant à eux qu’ils avaient toujours voulu voir la duchesse sous son vrai jour et que rien de cela ne les surprenait. »

    Découvrir le roman et l'auteur sur le site de l’éditeur

     

     

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